Les conditions de signature d’un accord pérenne pourraient être réunies… sous réserve que la direction…
Alors qu’un premier accord à durée déterminée d’un an avait été conclu avant la pandémie, il a été prolongé par voie d’avenants successifs… jusqu’au 31 juillet 2023.
Nous ne reviendrons pas sur les raisons qui ont conduit à cette situation, outre le Covid, mais il est urgent de conclure un accord pérenne.Aujourd’hui la négociation est lancée avec une date butoir annoncée par la direction au 6 juillet.
Les principales revendications portées par le SU-UNSA
Les réponses de la direction
Au vu des réponses exprimées par nos interlocuteurs en séance ce 28 juin, le SU-UNSA a fait évoluer ses revendications
- Fonctions support
- Travail nomade
- Réseau commercial
Les échanges se sont poursuivis sur les modalités de mise en œuvre du télétravail, notamment sur la nécessité ou non de passer par voie d’avenant au contrat de travail. Enfin, la question de l’indemnisation des jours de télétravail a été abordée et semble recevoir de la direction un accueil plutôt favorable… sans pour autant en définir le montant.
Prochaine séance de négociation sur le télétravail le 6 juillet annoncée comme conclusive par la direction. De nombreuses zones d’ombre persistent quant aux intentions de la direction CEGEE de répondre à nos revendications largement reprises et soutenues par les autres OS.
Si la revendication du Syndicat Unifiée-Unsa relative à l’accessibilité du télétravail au réseau commercial demeure un point fort, les conditions exposées supra en la matière, si elles étaient entendues par les dirigeants pourraient ne pas constituer un point bloquant quant à une possible signature du SU-UNSA d’un accord pérenne relatif au télétravail en CEGEE.
Réponse le 6 juillet
A suivre…