Six mois presque jour pour jour après un galop d’essai infructueux, une fuite inopportune dans la presse et un démenti formel, Laurent MIGNON est parvenu à convaincre son Conseil de Surveillance que le retrait de NATIXIS de la cote était la bonne solution. Il reste à convaincre les actionnaires minoritaires (29,3% du capital) que l’offre publique d’achat (OPA) qui précède l’offre publique de retrait (OPR), lancée par BPCE au prix de 4€ l’action, est une bonne affaire.
Pour bien comprendre ce qui se passe autour de cette opération, un bref historique remet à jour la mémoire des événements qui ont émaillé la route de NATIXIS depuis sa création il y a 14 ans…
L’expression du Syndicat Unifié-Unsa est à lire dans la note jointe.